Mal isolée, une habitation moyenne consomme et gaspille beaucoup trop d’énergie pour un confort peu satisfaisant
De plus, cette maison pollue car en consommant de l’énergie, elle émet des gaz à effet de serre qui mettent notre santé et celle de notre planète en danger. Enfin, c’est une maison peu économe car elle laisse s’échapper chaque jour des euros inutiles et, il faut le savoir, se déprécie au fil des ans.
Les murs arrivent en seconde position des facteurs de déperdition (26%) dans une maison peu ou mal isolée. Il convient donc d’étudier les possibilités d’isolation thermique des murs dès lors que les combles sont parfaitement isolés.
Les façades nord sont à isoler en priorité car elles sont moins exposées au soleil. L’isolation des façades ouest, davantage exposées aux pluies, mérite une protection supplémentaire contre l’humidité.
Pour évaluer l’isolation de vos murs et de vos combles, mieux vaut commencer par un bilan thermique.
Isolation : opter pour la ou les solutions adaptées et efficaces
Réunir toutes les conditions pour obtenir la meilleure performance thermique de l’isolation soulève de nombreuses questions : où isoler en priorité ? Par l’extérieur ou par l’intérieur ? En simple couche ou en double couche dans les combles ? Comment éviter les ponts thermiques ? Quels critères de performance choisir ?
Une isolation efficace passe par le choix d’un système d’isolation performant et le respect des règles de pose, afin d’assurer une continuité thermique de l’habitation et de limiter les ponts thermiques. Elle doit s’accompagner d’une maîtrise des flux d’air à l’intérieur du bâtiment. Pour cela, une ventilation associée à une bonne étanchéité à l’air est indispensable.
La ventilation a pour but d’évacuer l’humidité, la vapeur d’eau et la pollution liée à l’occupation des bâtiments, ce qui garantit l’hygiène des lieux et la santé des occupants. Les déperditions liées au renouvellement d’air peuvent représenter entre 15 et 20% des déperditions totales d’un logement.
L’étanchéité à l’air a pour objectif de traquer les fuites d’air dues aux défauts dans la construction et synonymes de déperditions calorifiques donc de diminution de l’efficacité de l’isolation thermique. Une mesure de la perméabilité à l’air de l’habitat permet de garantir les consommations annoncées.
La température de l’air est le premier facteur
qui intervient dans le confort thermique
La température idéale de chaque espace dépend de l’activité qu’on y pratique, du moment de la journée et de nos préférences personnelles. On essaie toujours d’éviter les grands écarts de température dans le temps entre jour et nuit ou entre les saisons.
Par l’isolation comme par le système de chauffage, on essaie également de contrer la tendance de l’air chaud à monter et de l’air froid à rester près du sol. Il est en effet inconfortable d’avoir la tête au chaud et les pieds au froid.
Le conseil Pajot Chénéchaud
Il consiste à :
Il s’effectue selon 4 grands paramètres :
On prend également en compte le chauffage adopté ainsi que l’isolation existante.
Un diagnostic ou une question concernant le choix de votre isolation ?
Pour l’isolation,
Pajot Chénéchaud s’appuie sur la capacité d’innovation de ses partenaires industriels :